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 Le fief des Assassins

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Premier Couteau
Ancien tavernier
Premier Couteau


Nombre de messages : 176
Date d'inscription : 09/11/2007

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MessageSujet: Le fief des Assassins   Le fief des Assassins Icon_minitimeVen 9 Nov - 20:47

Voila un jet sur l'ordi que j'ai fais hier soir et ce matin la suite sera surmant a venir mais je lache ça de suite

Un vent froid pénétra dans la pièce lorsque la porte de l’auberge fut ouverte. Quatre individus y entrèrent, frissonnant. Dehors la pluie tombé drue sur le toit d’ardoise. L’aubergiste souleva un sourcil fourni. Trois hommes et une femme se présentèrent à son comptoir. L’usure avait eu raison de ce dernier. Les bénéfices de la maison n’étaient pas à plaindre. Beaucoup de personnes y cherchaient refuge pour la nuit avant de traverser le terrible Bois Noir. Le nom de l’auberge était d’ailleurs bien choisi, l’Auberge du Dernier Refuge était inscrit sur l’insigne qui grinçait au vent. Un des hommes s’approcha de l’aubergiste. De taille grande et de corpulence musclé, il était quelque peu intimidant, d’autant plus que la garde d’une épée dépassé de sa cape imbibé d’eau.

-Bonsoir aubergiste, nous désirons dormir dans votre établissement. Serai-ce possible d’avoir de quoi se logé et mangé pour se soir ?
-Biensur, vous prendrez quatre chambres ? Ou bien… L’homme le coupa.
-Seulement deux, il tendit une bourse, voila qui devrait suffire. Il versa le contenu sur le comptoir, les yeux de l’aubergiste brillèrent de convoitise.
-Les deux au fond du couloir sont disponible. Il rafla les pièces d’or pendant que les voyageurs montèrent l’escalier qui grinçait sous leur poids.


Le service battait son plein en ce soir d’automne. L’humeur était à la fête, l’une des fille de l’aubergiste fêter son quatorzième cycle. La musique, jouée par un ménestrel de passage, dans un rythme endiablé, faisait dansait les clients sur une piste improvisé. L’aubergiste se retira pour se soulager la panse à l’arrière de la battisse. Il franchi le seuil lorsque un gant de tissu lui couvrit la bouche, un main apparue tenant un poignard. Il entendit un murmure prêt de son oreille.
-Pas de cri, ni de geste brusque, ou tu crèves.
L’aubergiste hoca doucement la tête. Les mains se retirèrent.
-Tu vas annonçais qu’un convoi va partir demain a l’aube pour traversé le Bois Noir par le chemin de l’Est, mets dedans quatre de tes hommes, se auquel tu fais le moins confiance, force les trois hommes et la fille à partir dans ce convoi. Ai-je été clair ?
-Ou…Oui…
-Va, maintenant.


L’aubergiste s’avança sur la scène, une goutte de sueur perlant sur son front dégarni. Surment à cause de la chaleur du feu se dirent mentalement les clients.
-Chers compagnons, je vous annonce la création d’un convoi qui partira pour traverser le Bois Noir a demain a l’aube, si vous désirez venir rejoignez moi au comptoir.
Comme l’aubergiste l’avait prévu, les trois hommes et la fille s’approchèrent.
-Ton prix pour le convoi ? Demanda le même homme.
-Neuf pièces d’or par personnes, vous partirez avec quatre de mes hommes, des hommes en qui j’ai confiance, qui sont prêt à sacrifier leur vie pour mes clients.
-Ça nous va. Réveillez vous a l’heure convenu demain. Les quatre gens montèrent dans leur chambre.


Sur le chemin de l’Est, dans le Bois Noir, embusqué prêt du chemin, un commando d’assassins se tenait allongé dans les buissons. Seul le bruit du vent dans les sinistres branches et le cris d’oiseaux noirs retentissaient dans une aube brumeuse, froide, où une légère bruine trempé les vêtements des tueurs. Arbalètes au poing, leurs objectifs avait était fixé au départ du Fief. Une mage, trois hommes inconnus et quatre soldat de l’aubergiste devait passé ici sous peu. L’ambiance était tendue, parmi les six membres du commando deux étaient des nouveaux, mais la présence du Premier Couteau était réconfortante. Les pauvres voyageurs seraient mort avant de pouvoir crier d’agonie. L’endroit de l’embuscade était typique du fief, un tournant, un chemin en contre bas de deux pentes et un bois épais comme couverture. Les restes de la précédente embuscade se mêlaient à la terre réduite en boue. Les assassins brûlaient tout puis dispersaient les cendres sur le sol.


Des bruits de sabots retentirent sur le sol mouillé, les assassins posèrent le doigt sur la détente de leur arbalète. Le convoi formé de huit personnes avancé à une allure soutenu. Ralenti par le chariot où la mage était assise entouré de deux des hommes l’accompagnant, les gardes pestaient, si le chariot n’avait pas était emporté l’on aurait pu traversé le Bois beaucoup plus vite. Les deux autres hommes scrutaient les bois et le sol à la recherche de signes suspects. Le regard de l’un deux tomba sur une dentition d’apparence humaine, il compris que son heure était arrivé, la sienne ainsi que celle du convoi.
-Eh… Sa voix mourut dans la gorge.
Le Premier Couteau du Fief appuya sur la détente. Le carreau propulsé à grande vitesse transperça la gorge du cavalier, malgré l’impacte celui si mourut sur sa monture légèrement penché. La mage se retourna pour questionner le cavalier. Elle aussi compris le tragique sort de ses compagnon d’infortune. Elle n’eu pas le temps d’invoqué un sort, un carreau vint sectionné sa nuque, sa tête tomba en avant déchirant les muscles, le sang coula à flot tachant la robe blanche de la femme. Le crissement des épées tirées de leurs fourneaux retentit, mais le Destin s’acharna une fois de plus. Quatre carreaux d’arbalètes jaillirent des fourrés coupant les nuques de quatre gardes. Les chevaux hennirent, les deux cavaliers restants voulurent tourner bride. Les assassins descendirent du chemin, puis lancèrent des dagues reliées à des chaînes. Transperçant le cœur d’un dans une gerbe de sang, pénétrant dans l’estomac de l’autre, un des assassins tira sur la chaîne désarçonnant le cavalier toujours vivant, cinq dagues le transpercèrent à nouveau. Le silence redevient maître des lieux la brume couvrant certains cadavres et s’enroulant autour des jambes des tueurs donné un aspect fantomatique a la scène macabres. Les assassins ramenèrent les chevaux puis fouillèrent les moribonds. Le butin fut bon, plus d’une centaines de pièces d’or cinquante d’argents, et le pendentif qui était à l’origine du meurtre. Entassant les cadavres mit a nue les assassins mirent feu au tas en l’aspergeant avec de l’huile, puis ils montèrent sur les équidés et partirent en direction du Fief.



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