Bienvenue dans la cité d'Alicandia
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Bienvenue dans la cité d'Alicandia

Bonne visite
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 De l'épée au magicien

Aller en bas 
AuteurMessage
Manetheren




Nombre de messages : 2295
Age : 34
Date d'inscription : 09/11/2007

De l'épée au magicien Empty
MessageSujet: De l'épée au magicien   De l'épée au magicien Icon_minitimeDim 2 Déc - 20:04

Les sabots du cheval frappaient le sol. Un chevalier le montait. Il portait une armure lourde par dessus sa côte de maille, son visage recouvert par un casque gris. A sa ceinture pendait un long fourreau, ouvragé par des elfes surement. Il portait comme tout les chevaliers des épaulières, des gantelets et autres protections sur ses bras et ses jambes. Il avançait paisiblement dans la plaine en direction du château du magicien. Enfin! pensait le chevalier. Les murailles! La route été bientôt terminée! Il fut surpris de voir de loin, ce qui semblait être une montagne. Arrivé au corps de garde, une sentinnelle positionné face à lui l'interpella:

Hola chevalier! Ici, personne n'entre, sauf les amis du magicien! Je les connais tous et je ne crois pas vous avoir déjà vu.

Le chevalier ota son casque et le fit passer sous son bras. Il regarda droit dans les yeux.

Je suis un ami du magicien. Ecarte-toi.

Aucune animosité dans sa voix, aucune menace. Cependant on percevait un timbre grave mais spécial... Il ne fut nullement étonné lorsque le garde se décala pour le laisser passer. Le cavaliers avança au pas dans l'enceinte de la cité si on peux dire cela. La montagne qu'il avait aperçu était en fait une tour immense qui s'élevait vers le ciel. N'importe qui serait pris de vertige en la voyant, même l'épée de Lumière. Tous parraissait minuscule à des kilomètres à la ronde.
Au début, il ne compris pas sa fonction, puis, en continuant sa route il sut: il n'y avait rien derrière les murailles. Seulement des camps d'entraînements, des archeries, des centres de formation. Tous ceux qu'il appercevait étaient des guerriers. Le nombres de soldats était considérables. Selon lui, des milliers s'entrainaient entre ses murs. Très bien, juste ce qu'il lui fallait.
La cité reposait donc dans une tour extraordinaire. La tour était de forme rectangulaire, parfois circulaire selon les étages. D'en bas, de nombreuses fenêtres et jardins étaient visibles. Au étages inférieurs, il remarqua des hommes et des femmes sur le balcon comtemplait la vue des collines alentours et la cité d'Alicandia qui s'étandait plus loin au Nord. Il laissa ensuite son cheval dans une des écuries contre la tour.

Lorsque l'individu atteignit le palais, un problème s'imposa à lui. Aucune porte ne se dressait devant lui.


Impossible, pensa-t-il,le soldat m'a dit que l'entrée se trouvait là! Je n'ai pas fait tout ce chemin pour faire demi-tour. De toute manière, je n'ai pas le choix, c'est ici ou nul part!

Aussitôt pensé, des traits se creusèrent sur le mur pour former une porte, une fabrication naine pensa-t-il. Elle s'ouvrit pour laisser entrer l'étranger et se referma ensuite. Le chevalier se trouvait dans un hall étrange. ni porte, ni fe,être. Sur le mur était représenté de nombreux couloirs, des salles et des points qui bougeaient. Le plan du château et les gens qui s'y trouvaient! Certaiins apparaissaient et disparrraissaient comme par magie. Pas le temps de s'y attarder. Il observa les quatre murs: la porte avait disparu, on ne distinguait que les dix premiers étages de la tour, Manetheren se trouvait au premier étage. Bien. Il devait rejoindre le magicien.
Face à lui, une petite porte se dessina. L'homme tourna la poignée et ouvrit.


Du poisson! Qui veut mon bon poisson!
Un petit bijou pour la d'moiselle! Bijous pas cher, qui veut des bijoux!
Un p'ti croissant mon garçon?
Essayez spontior et vos vêtements retrouvent leur douceur d'antan!

Un marché! Il se retrouvait sur un marché à ciel ouvert! Quel étrange domaine! Très sont ceux qui sont entré ici et encore moins ceux qui en sont sorti. Une nouvelle foisn son cerveau lui donna la réponse: tant de choses étranges, de phénomènes à déouvrir! Une vie entière ne suffirait pas à tout visiter!
Il marcha dans la grand rue dans l'espoir de tomber par hasard sur le magicien en train de chercher un vendeur des poireaux fourrés à la farce de canard. De ce qu'il se souvenait, c'était bien son genre.
Il y avait des vendeurs en tout genre, pas le temps de s'attarder. Plus loin, il discerna un grand mur semblable à l'entrée d'un palais, de nombreux gardes, une porte immense et travaillée. Ce qu'il l'aida surtout c'est l'écriteau sur lequel était noté:


LA SALLE DU TRONE, COUR DU MAGICIEN

Parfait. Il appela un garde pour le faire entrer. Celui-ci s’exécuta et le fit entrer. Un grand couloir s’étendait devant eux. A son extrémité, la même porte se trouvait au milieu du mur.
Un homme s'adressa au chevalier puis fit signe à l'étranger d'attendre. Le héraut entra dans la grand salle et annonça:


L'éppe de Lumière demande audience!

Un murmure générale se propagea dans la salle. Qui était-ce? Que faisait-t-il ici? Qui l'a laissé entrer? D'autres étaient ébahi. Tous ces nobles, ses musiciens, ces seigneurs n'avaient donc rien d'autres à faire? Un musicien laissa tomber sa lyre.

C'est Finélion de Naldir!

Puis le silence se fit total. Finelion avança sur le long tapis rouge qui menait jusqu'au trône du magicien. Il regarda ce dernier. La dernière fois qu'il l'avait vu, il avait l'âge de son père. Aujourd'hui il parraissait infiniment plus vieux. C'était pourtant le magicien qu'il avait connu jadis, il en était persuadé. A ses côtés se tenait Silk, son conseiller. Le nouveau venu posa un genou sur le sol et posa son coude sur l'aure jambe. Il baissa la tête et parla ainsi:

Je me nomme Firdelion, l'épée de Lumière. Je viens de très loin pour faire une requête.

Je sais qui tu es mon brave. Finélion le paladin à l'épée et aux pouvoirs magiques.
Relève-toi. J'ai combattu il y a une vingtaine d'années avec ton père à la bataille de Taillte. Terrible jour pour nous tous.
*soupir* Lors de sa chute, nous avons été séparé et le roi avait ordonné la retraite. Tu y étais si je me souviens bien.

Le chevalier crispa la machoire:

Nous nous battions à un contre cent. La victoire était impossible. le roi nous a mené
à notre perte.


Oui, je m'en souviens. D'ailleurs que devient son successeur et pourquoi es-tu
venu?


Il n'y a plus de royaume. Nous avons été anéantis par les troupes de Dunkan le Maudit. Par une nuit de pleine Lune alors que la trêve aavit été signé, les légions de Dunkan se sont déverséés sur nos contrées. Elles ont massacré, brûler, détruit, piller tous ce qu'elles ont trouvé.
Elles ont assiégé le château. Le lendemain matin, la forteresse était détruite et les survivants capturés. En tant que général des armées j'avais prévenu que Dunka était fourbe et lâche, cependant personne ne m'a écoutait. Tous voulaient croire à la paix et les paroles du maudit étaient si douce à entendre...


Il y eut un long silence.

Si je suis venu, c'est pour demander ton aide, Manetheren. J'ai besoin de troupes pour prendre la forteresse de Dunkan et tuer ce traître le plus vite possible! Je t'en supplie. Tu nous aidé autrefois, réitère ton geste!
J'ai une deuxième demande. Je n'ai plus de peuple, plus de famille. J'amierai donc appartenir à ton royaume. Je serais un paladin courageux et mon épée sera tienne!


Le magicien sombre refléchit un instant qui parut au paladin interminable et lui annonça:

J'accepte ta proposition. Tu recevras un soutien militaire pour ta campagne. Saches par contre que je ne t'accompagnerais pas. Tu devras faire tes preuves en tant que nouveau chef des armées de mon royaume. Mon royaume qui qoit dit en passant prendra le nom du tien: Naldir.

Les paroles du magicien allèrent droit au coeur du paladin.

Tu partiras dans deux jours mon fils.


Dernière édition par le Jeu 6 Déc - 15:09, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Manetheren




Nombre de messages : 2295
Age : 34
Date d'inscription : 09/11/2007

De l'épée au magicien Empty
MessageSujet: Re: De l'épée au magicien   De l'épée au magicien Icon_minitimeJeu 6 Déc - 15:08

Finélion se prépara ensuite à partir. Il confia son équipement à un domestique pour qu'il s'occupe de son armure et sa côte de mailles, le forgeron examina son épée et lui-même se remémora les sorts qui lui seraient utiles. Pendant ce temps l'armée aussi se prépara à la guerre.
Deux jours plus tard, les troupes sortaient de l'enceinte de la cité, Finélion en première ligne, avec les cavaliers éclaireurs. Derrière suivaient les chevaliers sous la direction d'autres paladins, puis enfin, les miliciens et les soldats. Ensuite venaient les fameux enchanteurs du royaume devant les archers et les catapultes.
La marche fut longue mais supportable; l'essor du marché de la sauccisse s'est répercuté sur celui du fromage ce qui a permis de se constituer un stock de denrée important en cas de guerre prolongé.
Tous se reposèrent à une journée de marche du royaume adverse, histoire de se faire repérer avant d'arriver et pour se reposer avant la bataille.
Dans la matinée, les troupes arrivèrent sur la colline face à la forteresse adverse.
Mais quel erreur que de construire un château près d'une colline et non dessus. La cité fortifiée était constitué d'un premier rempart derrière lequel se trouvait une bonne partie de la cité suivi d'un deuxième rempart et les quartiers riches. Au centre, un bastion menaçait la cité par ses tourelles élancées et ses remparts noirâtres.

Finélion plaça les catapultes au sommet de celle-ci entouré par des piquiers et un bataillon d'archer. La muraille adverse était recouverte de petis points en armure. Finélion sentait le doux parfum de la vengeance. Le chateau était encerclé. La seul issu était la colline car le reste n'était que marais où de nombreux pièges étaient dissimulés.
Finélion avait éspéré que les troupes ennemis seraient en position pour charger dès leur arrivée ce qui ne fut pas le cas. Il étendit la cavalerie sur une longue ligne, les lances en avant, prête à charger. Il établit ensuite un solide pan défensif. Les piquiers entouraient les catapultes au bas de la colline avec l'assistance des milicens. Au sommet se tenaient les catapultes encerclés par les archers qu couvriraient les piquiers. Désormais la colline pourraient se défendre si les chevaliers devaient se replier.

Puis les catapultes commencèrent à envoyer leurs boulets sur la forteresse adverse. Ses boulets s'enflammaient dans l'air suite à l'intervention des enchanteurs et explosaient dans la première partie de la cité. La riposte fut immédiate, la grande porte s'ouvrit et les loups géants chargèrent, certains surmontés de démons mineurs.


POUR L'HONNEUR! cria Finélion. N'AYEZ AUCUNE PITIE!

Puis les chevliers chargèrent sous l'impulsion des paladins. Et la bataille commença. Le choc fut terrible, il eut lieu le plus près de la colline. Des chevaliers transpercèrent les premiers loups. On entendaient aussin certains os cassaient parmi les chevaliers. Les loups mordaient puis dévoraient leur victime. La charge des chevaliers se divisa en deux, chaque rang partant dans une direction opposés puis fesant demi-tour. Deux groupes de loups furent encerclés. Volet de flèches des archers. Avancée des soldats humains.
Puis ce fut la charge des orcs sortant du château. Vu le nombre incroyable, le château ne devait être qu'une façade dissimulant des antres orcs sous le château, ou pire...
Puis les rochers des catapultes changèrent. Les enchanteurs ne les enflammaient plus, au contraire. ils éxecutaient ds charmes de protection pour que les roches arrivent en un seul morceau dans le camps adverses. Les flammes prenait dans la ville, Finélion en appercevait la fumée.

Finélion comtempla le jet des catapultes. Merveilleux, les engins étaient totalement hors de portée des ennemis. Si Dunkan avaient détruit son beau riyaume, c'était grâce à une supériorité numérique incontestable. Aujurd'hui c'est lui qui avait l'avantage, car, d'après ce qu'il savait de l'amrée de Dunkan, il n'utilisait que des loups géants, de démons mineurs et des orcs, ce qui permettait à ce démon majeur de tout contrôler. Quel fut sa surprise quand parmis les milliers d'orcs sortirent quelques centaines de trolls.


Halmir, Terrin, reformez vos colonnes et suivez moi!

Ainsi les trois meilleurs colones de chevaliers partirent à la rencontre des trolls. Finélion jeta sa lance. Il y eut de nombreuses pertes de part et d'autre. Les trois paladins tombèrent de leurs chevaux. Finélion sortit son épée de lumière qui avait fait sa réputation. A sa vue, le troll face à lui se cacha le visage. Finélion en profita et lui assèna deux coups d'épée dans les jambes. Technique classique. Le troll tomba sur le sol et poussa des cris plaintifs. Avant de savoir ce qui lui était arrivé le paladin lui enfonça sa lame dans le crâne, celle-ci produisant des éclats bleus.
Halmir maniaient sa fine lame avec aisance et faisait mouche à chaque coup. les trolls tombaient à ses pieds.
Terrin avait plus de difficultés face à un troll recouvert d'une armure pointu. Il évitait chaque coup de masse mais ne pourrait pas tenir longtemps à cette allure. Il prit appui sur une jambe du troll et fit un bond sur sa tête. Le troll s'énerva et se tenta d'écraser l'intru avec sa masse. Terrin sauta et le troll se massacra le crâne. Une technique comme une autre. Les courageux miliciens réussirent à bloquer les trolls qui avaient percé le mur de piquiers avec l'aide des archers. En particulier grâce à l'habilité d'un archer plutôt excellent, élève à l'académie militaire d'Alicandia, qui abattait les ennemeis avec une facilité déconcertante.
Biensur, les enchanteurs participaient à leur manière en créant des murs de flammes, des flèches de paralysie, des sorts de ralentissement. Une enchanteur audacieux jeta sur un groupe de démons mineurs un sort de foudre qui réduisit le groupe en poussière. La bataille durait et les troupes en présence n'était pas prête à abandonner, néanmoins la forterresse s'éffritait par morceaux.

Soudain, l'obscurité tomba sur le champs de bataille ainsi que sur la citadelle. L'après-midi était avancé mais pas à ce point. On alluma des torches sur la collines. Les habitants firent de même. De la collinne se deversaient encore et encore des chevaliers et des orcs et des démons sortaient de la cité. Finélion et ses deux amis se battaient de toutes leurs forces se soignant chacun à leur tour leur blessures car ils ne désiraient point retourner sur la colline comme les autres se faire soigner par les magiciens. C'est ce moment que choisi Dunkan pour se montrer. Quelque part dans les ténèbres surgit un dragon immense. Il alla se poser sur la bastion puis vint dans la direction du champs de bataille, monté par Dunkan.
Le dragon cracha des flammes brûlant ami comme ennemi.


REFORMEZ LES RANGS! REFORMEZ LES RANGS!

Puis un poignard ennemi transperça Finélion dans la poitrine. Il retira le poignard ensanglanté niché dans sa poitinre. Il avait du mal à respirer et sa vue diminuait. Un cavalier se battait à ses côtés.

Envoie cet ordre au commandement sur la colline. L'issu de la bataille dépend de toi.

Il eut le temps juste d'appercevoir son armée en déroute une seconde fois et son ami Halmir tomber à ses côtés puis il sombra dans l'inconscience.


A suivre...
Revenir en haut Aller en bas
Manetheren




Nombre de messages : 2295
Age : 34
Date d'inscription : 09/11/2007

De l'épée au magicien Empty
MessageSujet: Re: De l'épée au magicien   De l'épée au magicien Icon_minitimeJeu 13 Déc - 15:57

Cela faisait quelques heurs que je chevauchaient Sornaug, mon dragon, pour rejoindre le lieu de la batalle; Je ressentais quelque chose d'étranges et je décidai auparavant de partir au côté de mon armée.
Lorsque j'arrivai, je ne m'attendai pas à un tel désastre.
Mon armée se battait fièrement. De loin, elle parraissait plus nombreuse et mieux organisé. Mais un élément changait la donne.
Dunkan projetait des éclairs là où son dragon cracherait ses flammes, juste pour faire souffrir ses victimes. Les deux comparses balayaient le champs de bataille.

Je regardai la cité ou un phénomène étrange se produisait. Les blocs intactes qui furent projetés au début de la bataille je pense, et qui tombaient encore, se brisèrent laissant des ombres sortir, créant, un mouvement de panique général. De ma position, je ne pouvait repérer Finélion. Le paladin devait se trouver au coeur de la bataille.

Dunkan, sortant de sa démence, m'apperçut. Il tira les renes de sa monture géantes et fonça sur moi à grande hâte. Son dragon jeta une boule de flamme immense sur le mien. J'esquivai et riposter de même. Dans sa hâte de me foncer dessus, il ne put changer de direction et son dragon fut touché. La puissance ne lui fit aucun effet. Sa monture était pratiquement deux fois plus grosse et intimidante que ma dragonne. J'avais l'avantage de la vitesse et lui, de la force. Il m'envoya de nombreux éclairs, facilement parables, nos deux dragons étant insensible à la magie. Le combat fut assez spectaculaire. La chaleur des flammes m'aveuglait néanmoins je n'allai pas céder pour si peu.

Dunkan devait incontrolable, il n'arrivait pas à m'atteindre. Esquive, piqué, toutes mes manoeuvres réussissaient. Pour une fois, la chance étaient de mon coté.
Petit à petit, je diminuais l'altitude à laquelle nous volions. Dunkan ne sentit pas le piège arriver, trop aveuglé par sa volonté de destruction je pense.
J'entendit en bas un cri impérieux. Une volée de flèche filant avec célérité vinrent se planter sous le ventre et dans les ailes du dragon, entrainant Dunkan dans sa chute.

Je le regardai tomber en plein sur le champs de bataille. Le dragon tomba dans un fracas infernal dans une position latéralle. Les soldats regroupés autour ne lui laissèrent aucun répis. Ils mnttèerent par tout endroit et plantèrent leur épées dans tous les recoins non protégés par les écailles, lui percèrent les yeux et lui ouvrirent le ventre laissant ses organes fumants se déposaient sur le sol. De la barbarie à l'état pur.

A ce moment, il m'était impossible d'apercevoir Dunkan. Où pouvait-t-il bien être?
Trop tard. Je me retournai d'un bond et reçut un jet de lumière que me propulsa à une vitesse alarmante en direction des murailles. Je ne put m'empêcher à ce moment de crier cette phrase qui me vint à l'esprit:


I Believe I can fly! I believe I can touch the sky!

Puis je m'écrasai au beau milieu de la cité. Je regardai autour de moi, du foin. Bilan: je n'étais pas mort mais j'avais les os brisés. Il ne me restait qu'une seul solution. Attendre du secours au milieu des débris d'une grange qui sentait le purin, despéré de mettre laissé berné par une illusion.



A suivre...
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





De l'épée au magicien Empty
MessageSujet: Re: De l'épée au magicien   De l'épée au magicien Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
De l'épée au magicien
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bienvenue dans la cité d'Alicandia :: Les Grandes instances de l'alliance[RP] :: La salle des textes-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser