Nouveau propriaitaire

Depuis quelques jours, il y avait pas mal de mouvement près de cette guargotte.
Beaucoup de bruit c'était fait sur sa vente récente, les notaires de la cité avaient travailler dans des temps records. Le prix négocié était avantageux pour le vendeur qui est partit rejoindre une vielle tante dit on.

Beaucoup de bruit, des maçons, des terrassiers, des charpentiers et de temps en temps un homme dirigeait les travaux. Il était habiller d'un costume le mettant en valeur, ceux de la dernière mode à Alicandia, il a les cheveux mi longs et noirs, les yeux dorés une courte barbe noirs, sa peau basané sentait le soleil.

Il savait se faire obeir, et les travaux allaient bon train. Le soir venu parfois des "curieux" venaient voir l'avancée des travaux, pour repartir le lendemain matin aux mains de la garde, fortement perturbé. Nul doute que ces maraux étaient surpris qu'un tel homme un peu prècieux est pu les mettres en défauts..........

[HRP la suite plus tard]

Les travaux allaient bon train. On parlait d'une décoration somptueuse, faite de lourdes tentures pourpres et de dorures, de bois précieux.
On disait qu'il y avait bien des niveaux et de nombreux sous sols et caves. Certains ouvriers parlent d'une cave haute de 4 mètres de plafond amenagée luxueusement avec un lit énorme large et profond.

Le patron de l'établissement s'appelle Sadrihel, qui se dit le fils du Seigneur du Rakuen. Il serait venu avec ses soeurs, Fukayna, Bahiti, Nubia, Mariasha.
Fukayna était blanche de peau, les cheveux roux et long et des yeux verts.
Bahiti, elle, était blonde légèrement bronzée les yeux dorés.
Nubia et Mariasha elles étaient brunes, la peau pleine de soleil et des yeux noirs.
Toutes quatres étaient très belles, sauvages, pleines de vie.
Toute la maisonnée est joyeuse et prévoyé une ouverture prochaine.....

L'Arthashâstra ouvrira ces portes dans 3 jours, vous êtes cordialement invité à cette manifestation qui aura lieu à 20 heures.

Sadrihel, fils d'Ariock Seigneur du Rakuen

La rencontre avec sa Seigneurie se fera dans ses salons privés

L’entrée est faite d’un petit couloir faite de lourde tenture rouge brodé d’or. On ne distingue pas la salle depuis l’entrée. Les bruits en provenant sont étouffés.
Une odeur d’encens capiteux envahit les sens.
La salle est large, de nombreuses alcôves sur les côtés permettent aux visiteurs une discrétion et intimité.
De nombreuses tables rondes, des bancs en milieu de salle assurent l’assise pour les moins fortunés. Les alcôves sont réservés aux hôtes fortunés qui peuvent se prélassaient dans de profonds coussins géants tels des califes. Chaque alcôve peut être isolée par une lourde tenture.
Une galerie à l’étage assure la même fonction que les alcôves.
L’éclairage est assuré par une multitude de bougie et cierge assurant une lumière chaude et douce.

Le comptoir est de bois sculpté, tout est de bois. Et les scènes gravées dans ces bois sont toutes érotiques.
De nombreuses femmes fréquentent l’endroit, au comptoir dans la salle ou dans les alcôves.
Le tavernier est musculeux, grand, les yeux rouges la peau foncée, il est chauve. Il n’est pas seul de nombreux hommes qui pourraient être des frères sont disséminés dans le lieu.

Les quatre sœurs semblent occupées une place bien définie dans l’auberge et le patron virevolte entre les tables et alcôves pour s’assurer que tous passe de bon moment.

En plus de l’encens flotte une odeur de cuisine, évoquant de lointains pays riche d’épice.

Parfois des hommes disparaissent à l’étage avec au bras une des femmes, réapparaissant plus tard fier et rassasier. Mais chose étonnante, il ne semble pas que les femmes soient en reste car des riches marchandes profitent de l’ouverture de l’auberge pour ne pas laisser la prérogative à l’homme d’un tel lieu et semble encourager par les sœurs et la bienveillance du maitre des lieux.

D’autres personnes fréquentent l’auberge, mais elles semblent apprécier plus que de raison la discrétion et elles sont emmenées à l’arrière du comptoir par le patron lui-même. L’arrière du comptoir menant aux sous sols......

Avior entra dans la taverne et se traîna jusqu'au comptoir. Il regarda le tavernier.

Un verre de sang. Et si vous n'avez pas, du vin de bonne qualité...

Avior lance un sourire sadique

Je ne risque pas de vous tuer pour abreger ma soif. Je n'aime que les vierges... en revanche.

Avior tire sa dague

Le sang des autres me met particulièrement en joie !

Il s'approche sa dague en main... puis retient son geste.

Ha ha ha ! Je plaisante ! Quel trogne vous avez faite !
Non je ne goûterais pas à ces plaisirs... vulgaires. Je ne fais pas dans les femmes tarifées. Filez-moi une bière et ce sera tout.

Soit messior avior, comme vous le désirez.
Mais vous ratez des plaisirs qui vous sont inconnus.

Elle congédia la serveuse d'un mouvement de la tête et repartie vers son domaine.

C'est bien ce que mon frère vous a proposé, si vous souhaitez que je dine avec vous ce sera.
Laissez moi juste le temps de donner les ordres pour votre repas et je vous rejoinds.

Allez à l'étage sur votre droite, une servante vous attend pour vous mener à votre table.
Nous avons de très bon vin, puis je vous faire gouter à une variante de ce que notre seigneur boit ?
C'est un peu fort, mais ce n'est pas le piquant de cette boisson. Elle est faite avec un raisin qui pousse sur nos terres empoisonnées. Tout l'art de nos vignerons c'est de garder juste ce qu'il faut de poison pour désensibiliser le palais.

L'escalier est massif, mais les arabesques gravées dessus lui donnent une légèreté troublante.
Après quelques marches le mage compris qu'une protection magique y était lier et après une petite pause de concentration il se rendit compte que le batiment entier respirer la magie.
Un rapide coup d'oeil en contrebat et Manetheren voyait Avior avec une simple bière.
Une servante tout aussi joli que Bahiti l'attendait en haut de l'escalier

Seigneur Manetheren si vous voulez bien me suivre.

L'alcôve, où la servante le mena, était retiré en surplomb par rapport aux autres alcôves de l'étage ce qui lui donne l'avantage de voir sans être vu. elle est décoré avec goût en boiserie fine, toujours ces arabesque partout en plus d'autre runes.
Des gravures finement ouvragés et aux poses suggestives occupent une bonne partie de la décoration.
Nul doute sur le pourquoi d'aussi profonds et larges fauteuils, on ne doit pas que manger et boire ici.

Que dois je vous servir en attendant ma maitresse sir ? Le vin qu'a suggéré ma maitresse ou préférez vous un vin simple ?

Elle répondit à son sourire, elle lui répondit d'une voix douce et chaleureuse

Mon père a de nombreux travers, mais jamais il nous menacera.
Bien au contraire, il est très protecteur, c'est d'ailleurs la raison de notre présence, mes soeurs mon frère et moi, sur ces terres. La vie y est plus douce que sur nos terres.
Notre coté humain n'est pas en mesure de supporter l'air du Rakuen mais nous avons ce tiraillement de notre autre coté qui se languit de notre patrie.
Et puis j'aime assez cette forme que vous voyez actuellement, elle facilite grandement nos échanges avec vos gens.

elle a un petit sourire, se redressa et repoussa les fleurs de la table.
La servante apparut avec un plateau d'argent finement ouvragé.
Elle servit deux fines coupes de cristal et laissa la bouteille de vin.
Le vin de couleur brune laissa échapper une légère volupte mauve.

Je vous laisserais gouter à mon verre avant de vous servir le votre, si vous sentez une gêne signaler le de suite et nous vous servirons un vin plus à votre nature.

Manetheren senti sous ses pieds, loin dans la terre, l'utilisation d'une forte magie.

Je crois que mon père viens d'arrivée elle repris après une courte pause il essaye de prendre une forme plus acceptable pour nous rejoindre cela lui coûte beaucoup, mais après vous être installer il n'a pas envie de vous faire redéplacer.
De toute manière nos plats sont en chemin.

Sur cet entrefait, des serviteurs déposèrent le plat demandé par Manetheren, ainsi que du pain jaune une carafe de vin, pour Bahiti une viande légère et un vin blanc léger, puis les serviteurs placèrent en face de Manetheren un sanglier roti entre les plats de nombreux légumes accompagné le tout.
Trois verres furent ajoutés à la table ainsi qu'une bouteille plus importante de la liqueur que Manetheren gouta pour la première fois.
Les serviteurs refermèrent les tentures qui donnaient à l'alcôve l'intimité néccessaire à une soirée entre amis et compagnie consentente.
Des bougies s'allumèrent et donnaient une atmosphère chaleureuse.
L'une des gavures se mit à danser devenir intengible, deux succubes firent leurs apparitions ainsi qu'un homme plus grand que la moyenne aux yeux et à la peau noir, uns cascade de cheveux blancs lui recouvrait les épaules, il portait une veste blanche ouverte devant laissant apparaitre un torse musclé.
Bahiti s'inclina

Bonsoir Père

Seigneur Manetheren, bienvenue dans cette demeure.
J'espère qu'elle vous plait et plaira à vos gens.
Vous m'excuserez si vous ne voyez pas souvent cette apparence, je la réserve habituellement au jeu de la séduction, elle réclame une énergie folle pour être maintenue.
Admettez que nous ne pourrions pas voir de si jolie fille si leur mère fuient en criant à ma simple vue. Et puis pour d'autre chose aussi.

il sourit à sa fille

Sachez que vous pouvez parler librement en ce lui comme dans toutes les alcôves d'ailleurs, elles sont protégées magiquement contre toutes oreilles indiscretes et pour ne pas déranger nos voisins

Il lui fit un clin d'oeil complice sur ces dernières paroles.

Ariock avait donné le signal de l'allatque: la distribution du sanglier. Désormais, c'était chaucn pour soi. Manetheren jeta un coup d'oeil à son poisson, couteau et foruchette à la main. Ce fut le moment de la grande hésitation: devait-il boire la liqueur au risque de voir son poisson refroidir. Le dilemme était décisif, soit il buvait, soit il mangeait.

Avec une aisance redoutable, il s'empara du verre de la fille d'Ariock. On voyait l'expérience des repas à travers cette poignée élégante. il apporta le verre sous nez nez puis huma le parfum de cette liqueur. A cet instant, quelque part dans son cerveau, certains neurones se désagrégèrent sous a puissance de l'odeur. Manetheren, stoïque, apporta la verre à ses lèvres et but une petite gorgée.

Une sensation de bonheur et de légèreté soudaine s'empara de lui, il aurait voulut, se lever et crier à tous sa joie de vivre! Puis vint le reste...Sa gorge brûla, son teint passa du pâle au orange, au rouge puis au pourpre, au bleu; il brûlait de l'intérieur. Cependant, ce n'était pas la première fois que Manetheren se trouvait confronté face à ce genre de situation. Il se concentra un maxumun et, réunissant toute la mauvaise fois que le magicien décléra :

Hum..Un bon petit goût. Une petite touche de piquant. on sent la tenacité...Escusez moi.

Manetheren sortit de l'alcove où il se trouvait sans gêner personne.


AAAAHHH! CA BRUUUULLLLE!!!


Comme si de rien n'était, il entra dans l'alcôve isolé rejoindre ses compagnons, s'assit et commença à oter les arrêtes du muges.

Toutes les personnes hors des alcôves sursautèrent à ce cri.
Les filles d'Ariock rirent légèrement, la serveuse à droite de l'entrée tendit une petite fiole à Manetheren.

Pour calmer l'ardeur de la boisson, vous n'êtes pas le premmier et pas le dernier à avoir cette réaction.

En retournant dans l'alcôve Manetheren constata un petit amusement dans les regards des presents.

Le vin sera plus à votre goût je pense, souvent les gens gardent moins de retenue à la première dégustation, je m'arrangerais qu'une cuvée vous soit spécialement tirée et adapté à votre physiologie.

Il s'en resservit un verre.

Le poisson est à votre goût ?

Après une pause

J'ai demandé qu'on nous fasse un dessert particulier, je vous rassure rien de dangereux.
La préparation est délicate et requière une grande dextérité de la part du cuisinier mais aussi de son assistant du moment. remerçions le seigneur Arbiter pour me fournir l'un des ingrédients.

A ces mots les succubes gloussèrent de plaisir.

Oh j'y pense, quel est votre type de femme ? Je la ferais monter pour vous, l'un des effets secondaires de cette liqueur est une faim différente.
Mon père vous proposerait bien une de ces compagnes mais elles ont la facheuse habitude de dévorer leurs partenaires humains et moi.... et bien disons que pour l'instant j'apprends encore à refreiner ce penchant.
J'imagine que vous aimerez une certaine intimité je vous laisserais donc.

ils discutèrent encore un bon moment avant le dessert, Ariock eu un moment d'hésitation avant de reprendre la parole.

Mon fils m'a dit que votre soeur était passée il y a de cela quelques jours....Pendant les travaux rassurez vous. Mais justement comment mes gens doivent se comportaient avec elle ?
Comme j'aimerais ne pas commettre d'impaire, je préfère vous demander et évidemment je me conformerais à vos désirs à moins que vous ne préfèreriez lui laisser le choix ?

C'est à ce moment que le dessert arriva. Il sagissait d'un sorbet ... non... d'un sirop ? Comme les mises en garde ont été faite avant Manetheren attendit avant de demander, bien que la denière partie de la discutions ne manquait pas de réflexion

Je vais chercher ce qu'il faut à votre goût, il y'en a d'autre avec une bien meilleur expérience que moi.

Sur ces mots elle sortit

La contribution du seigneur Arbiter n'est pas direct... Disons plutôt que sa peuplade possède une "essence" que l'on peut extraire magiquement. Lors de mes fréquentes attaques sur ses terres, j'emmene des prisonniers comme tout à chacun.
C'est avec ce dessert que je me nourrirais vraiment.
De plus c'est très nourrissant pour les êtres magiques, elle insufle une vague dans ce type de capacité.

Il apporta la coupe à sa bouche et visiblement il appréciait, les succubes servient elles aussi, se jetèrent dessus comme si la faim les tenait depuis une éternité.

Votre soeur sait pour notre maisonnée...enfin la particularité de ses occupants. Mon fils lui a présenté la chose.
Si vous le souhaitez, il pourra l'éduquer sur nous. Il est plutot pédagogue et doux...Il tient cela de sa mère. Je pourrais aussi lui adjoindre une escorte invisible pour lui éviter certains désagrèments.

Il hésita avant de reprendre, une très charmante jeune femme rentra. Visiblement sur d'elle de très belle forme sans exagération ni vulgarité.

Je vais désormais vous laisser, les effets de la rune de pouvoirs ne va pas tarder à ce dissipper et ...... j'ai une envie grandissante que seul mes compagnes pourront satisfaire.

Des bosses commencaient à se former sur ses épaules et sa taille elle aussi prenait des dimmensions impressionnantes. La gravures par laquelle Ariock était rentrer recommnça à devenir intengible.

Si vous souhaitez continuer cette discussion, demandez à mon fils de vous accompagner dans mes appartements j'y serais jusqu'à demain soir. Ensuite je retournerai dans mon royaume.
Amusez vous bien.

La jeune femme vit la coupe de Manethren.

Souhaitez vous que l'on vous serve autre chose ?
Avant de passer à d'autre chose. Tout en lissant la barbe de son invité.

Le Seigneur Ariock me fait dire que la soirée vous est entièrement offertes et d'être à votre entière disposition.

Ô maman ! Furent une des premières pensées de Manetheren