La salle est large, de nombreuses alcôves sur les côtés permettent aux visiteurs une discrétion et intimité.
De nombreuses tables rondes, des bancs en milieu de salle assurent l’assise pour les moins fortunés. Les alcôves sont réservés aux hôtes fortunés qui peuvent se prélassaient dans de profonds coussins géants tels des califes. Chaque alcôve peut être isolée par une lourde tenture.
Une galerie à l’étage assure la même fonction que les alcôves.
L’éclairage est assuré par une multitude de bougie et cierge assurant une lumière chaude et douce.
Le comptoir est de bois sculpté, tout est de bois. Et les scènes gravées dans ces bois sont toutes érotiques.
De nombreuses femmes fréquentent l’endroit, au comptoir dans la salle ou dans les alcôves.
Le tavernier est musculeux, grand, les yeux rouges la peau foncée, il est chauve. Il n’est pas seul de nombreux hommes qui pourraient être des frères sont disséminés dans le lieu.
Les quatre sœurs semblent occupées une place bien définie dans l’auberge et le patron virevolte entre les tables et alcôves pour s’assurer que tous passe de bon moment.
En plus de l’encens flotte une odeur de cuisine, évoquant de lointains pays riche d’épice.
Parfois des hommes disparaissent à l’étage avec au bras une des femmes, réapparaissant plus tard fier et rassasier. Mais chose étonnante, il ne semble pas que les femmes soient en reste car des riches marchandes profitent de l’ouverture de l’auberge pour ne pas laisser la prérogative à l’homme d’un tel lieu et semble encourager par les sœurs et la bienveillance du maitre des lieux.
D’autres personnes fréquentent l’auberge, mais elles semblent apprécier plus que de raison la discrétion et elles sont emmenées à l’arrière du comptoir par le patron lui-même. L’arrière du comptoir menant aux sous sols......